Le correspondant voudra pardonner cette lettre d'un inconnu qui aurait préféré s'adresser à lui personnellement plutôt que par lettre mais qui a été retenu à Londres d'abord par certaines occupations, ensuite par sa santé chancelante. Il espère néanmoins le rencontrer à Oxford mais, au cas où cela ne serait pas possible, il lui envoie les thèses [Pyrrhonismus] qu'il a composées sous [Friedrich] Spanheim et pour lesquelles il demande la bienveillance de son correspondant.
Minute autographe. Inédite. (L) Bibliothèque de Genève, Ms fr 481 (f.205 r°)
Quod fiat tua
Le correspondant voudra pardonner cette lettre d'un inconnu qui aurait préféré s'adresser à lui personnellement plutôt que par lettre mais qui a été retenu à Londres d'abord par certaines occupations, ensuite par sa santé chancelante. Il espère néanmoins le rencontrer à Oxford mais, au cas où cela ne serait pas possible, il lui envoie les thèses [Pyrrhonismus] qu'il a composées sous [Friedrich] Spanheim et pour lesquelles il demande la bienveillance de son correspondant.
Adresse
Commentaire
Il n'est pas aisé d'identifier le destinataire. La lettre fait allusion à Oxford et la seule personne qui figure parmi les correspondants de JA de cette époque, établie à Oxford, est Edward Bernard dont il existe une lettre latine à JA. Malheureusement rien ne prouve que ce personnage soit bien le destinataire de cette lettre, c'est pourquoi nous préférons la considérer comme adressée à un inconnu.