7819 Personnes

Description Correspondant Auteur Personne citée Nom Prénom
WerdmĂĽller I       WerdmĂĽller I
Hessen-Homburg Friedrich III (1673-1746)       Hessen-Homburg Friedrich III
Werndli Johann Conrad (1656-1727)       Werndli Johann Conrad
Hey Andreas (1667-1719)             Hey Andreas
Wettstein Johann Friedrich (1659-1744)       Wettstein Johann Friedrich
Hirzel (Famille)       Hirzel (Famille)
White Francis (~1564-1638)       White Francis
Hirzel VI       Hirzel VI
Wikart Susanne       Wikart Susanne
Hofmeister Rudolf II       Hofmeister Rudolf II
Williams John (1636-1709)       Williams John
Hollard MoĂŻse (1638-1725)       Hollard MoĂŻse
Wittelsbach Charlotte-Élisabeth von (cf. Orléans Charlotte-Élisabeth) Wittelsbach Charlotte-Élisabeth
Holzhalb Leonhard II       Holzhalb Leonhard II
Wittich Christoph (1625-1687)       Wittich Christoph
Woodward John (1665-1708)       Woodward John
Hottinger Hans Konrad (1655-1730)       Hottinger Hans Konrad
WĂĽrttemberg Karl Alexander von (1684-1737)       WĂĽrttemberg Karl Alexander
Howard of Norfolk Henry (1655-1701)       Howard of Norfolk Henry
Yongzheng (Chine) (1678-1735)       Yongzheng (Chine)

Gernler Theodor null

(1670-1723)

Biographie

Gernler Theodor (1670-1723) Né en Suisse, à Bâle. Fils de l’antistès et professeur d’Ancien Testament Lukas, frère de Johann Heinrich* et neveu de Johannes Zwinger*. Fit ses études de philosophie à Bâle en 1682, puis de théologie de 1685 à 1688. Après un passage à Zurich, entre 1688 et 1689, il fut consacré en 1690 et exerça quelque temps à Genève, puis à Paris en 1691. De 1691 à 1692, il fut aumônier militaire du régiment Stoppa, basé en Flandres. Les années suivantes furent consacrées à des voyages en Hollande, à Leyde en 1692, et en Allemagne, à Francfort, en 1693. Il revint ensuite, à partir de mai 1693, à Genève où il exerça les fonctions de ministre de l’Église allemande jusqu’en 1697. Il fut ensuite ministre à Bâle, au Waisenhaus (1697-1700), à Saint-Jacques de 1700 à 1701, à l’Hôpital de 1702 à 1708, enfin à Sainte-Élisabeth jusqu’à sa mort. Il donnait aussi des cours privés de théologie et fut membre de la Chambre des prosélytes. Ses lettres à Turrettini sont des lettres de jeunesse et concernent principalement des questions de philosophie. Jean-Frédéric I Ostervald* en déplora la mort prématurée, en le définissant un homme de bien ; d’après le même Ostervald, Gernler était très proche de Samuel Werenfels*.

Bibliographie

DMB, 4, p.154, n.920; M.-C. Pitassi, « Les amours de jeunesse : échos cartésiens dans la correspondance du théologien Jean-Alphonse Turrettini (1671-1737) », Rivista di filosofia neo-scolastica, 93, 2001, p.191-207.

A reçu les lettres

Son nom est cité dans les lettres