Ott sait, grâce à son fils [Hans Heinrich II], ce que la modestie de JA empêche celui-ci de lui dire, à savoir toute la bienveillance et l'affection dont il a fait preuve, une nouvelle fois encore, à l'égard de son fils même qui devrait à présent se trouver à Paris pour quelques jours ou semaines. Il a avec lui le jeune [Hans Jakob IV] Gessner, fils du médailleur zurichois [Hans Jakob II]. On a aussi ici un autre Gessner, ministre [Hans Jakob III], passionné par l'étude des monnaies anciennes et...
Lettre autographe, signée, adressée. Inédite. (L) Bibliothèque de Genève, Ms fr 492 (f.27-28)
Quod solita tua
Ott sait, grâce à son fils [Hans Heinrich II], ce que la modestie de JA empêche celui-ci de lui dire, à savoir toute la bienveillance et l'affection dont il a fait preuve, une nouvelle fois encore, à l'égard de son fils même qui devrait à présent se trouver à Paris pour quelques jours ou semaines. Il a avec lui le jeune [Hans Jakob IV] Gessner, fils du médailleur zurichois [Hans Jakob II]. On a aussi ici un autre Gessner, ministre [Hans Jakob III], passionné par l'étude des monnaies anciennes et qui songe à imprimer tous les thesauri de l'antiquité. Le porteur de cette lettre est un jeune ministre zurichois, Johannes [Jean II] Fine qui a accompli son cursus à Zurich et maîtrise aussi bien l'allemand que le français. Il a l'intention par la suite d'aller en Angleterre où il a de la parenté. JA pourra l'interroger sur les affaires zurichoises et sur le vieux théologien.