Je suis trop obligée
Renée Diodati remercie l'aimable secrétaire de Satigny de la tenir au courant de ce qui s'y passe. Elle se réjouit de ce que la santé de tous soit bonne; quant à elle, elle se porte bien par la grâce de Dieu. Elle est aussi contente que sa cousine [Barbe] Pictet n'ait pas à souffrir de la même toux qu'à Genève. Elle a reçu la lettre de la religieuse de La Roche qui lui envoie six petites bagues avec des devises. Elle en envoie deux à son cher correspondant.
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Lettre autographe. Inédite. (F) Archives de la Fondation Turrettini (Genève), 1/Gd.10.I
[Satigny (Genève)]
Il n'y a pas d'éléments pour dater cette lettre; le terminus ad quem proposé est celui de la mort de Renée Diodati. Il est vraisemblable que la lettre soit antérieure au moins à l'année 1697 puisque l'expéditrice affirme être en bonne santé alors que JA, en annonçant la mort de sa cousine à Got le 01.01.1698, affirme que la défunte était depuis un an dans un état de langueur.
Satigny (Genève)
Genève
Pictet Barbe