Lettre 3737 de Johann Baptista Ott à Jean-Alphonse Turrettini

Lettre autographe, signée, adressée. Inédite. (L)
Archives de la Fondation Turrettini (Genève), 1/Gd.O.4

Quanquam nihil singulare

Au début de la nouvelle année, Ott invoque sur JA la bénédiction de Dieu et le prie de pardonner ses lenteurs de correspondant. Son fils a traversé la mer avec succès et a pu embrasser sain et sauf l'archevêque [Wake]. Pour ce qui concerne les nouvelles littéraires, son fils fait l'éloge, dans sa dernière lettre, des pensées sur l'éducation de Rollin, qui ont été publiées à Paris. Ott n'a pas oublié le service qu'il s'est engagé à rendre à [Samuel (?)] Turrettini au sujet des lettres des réformateurs mais il cherche une solution pour pouvoir faire cela de la manière la meilleure possible. Il regrette la souscription pour Josèphe [Ott, Specilegium, 1741], pour laquelle JA s'est engagé malgré toutes ses autres occupations, puisqu'elle s'est faite contre son intention. Il s'agit d'une initiative qui ne vient pas de lui mais des libraires qui n'ont d'autre but que leur gain personnel. Beaucoup de monde souhaite qu'elle soit imprimée avec l'édition hollandaise [1726 (?)] dans la même forme et caractère pour pouvoir les mettre ensemble dans les bibliothèques. Il en discutera avec [Gerard et Rudolph] Wetstein.

Adresse

[Genève]

Commentaire

Lieux

Émission

Réception

Genève

Conservation

Genève

Cités dans la lettre